La note bleue, huile sur toile, peinte en 1998, collection particulière

CONCERTS (& photos)

 

NECROROCK (depuis 2013, la liste est longue et elle s'allonge)

LES DISQUES

DU MOIS

 

 

NOW AND THEN (BEATLES NOSTALGIA)

 

C'est quoi ce pantin désarticulé qui ressemble à John Lennon ?

 

THE CURE LIVE

UTOPIA AVENUE DE DAVID MITCHELL

Parfaitement traduit, le nouveau roman du prolifique David Mitchell nous promène (en 750 pages!) dans le Londres (et la Californie, le New York) des Swinging Sixties, à travers le parcours d'un groupe inventé de toutes pièces, Utopia Avenue. On y rencontre aussi les grandes figures folk/rock de cette époque 66-68, Brian Jones, Jimi Hendrix, David Bowie, Janis Joplin, Leonard Cohen et...Steve Winwood et Traffic, oui oui. J'ai lu des critiques mitigées sur ce livre, assimilé à un "roman de plage", une oeuvre "page turner" (on tourne les pages, pour avancer plus vite, grâce à des procédés narratifs que l'on trouve aussi dans le thriller). Certes, il y a des longueurs et certains personnages manquent un peu d'épaisseur, les dialogues sont envahissants mais la reconstitution romanesque de la période impressionne et je parle en connaissance de cause puisque j'ai moi aussi aussi écrit sur les Swinging Sixties. Le groupe Utopia Avenue me fait penser aussi à tous ces groupes psychédéliques (ou de fusion) plus ou moins éphémères de la fin des années 1960 et qui encombrent ma discothèque. Et le personnage féminin d'Elf (chanteuse folk qui entre dans le groupe et tient notamment les claviers) est très réussi, rappelant au passage à quel point le rock a été (et demeure) sexiste et mysogine.

 

LE TOP 500 DE ROLLING STONE A ETE PUBLIE

Le Top 10 de ce classement RS500 est en effet assez singulier, avec une évidente volonté de rééquilibrer l'apport des Afro-américains et des femmes dans ce que l'on ne peut pas nommer "rock" mais plutôt les "musiques populaires anglo-saxonnes" au sens large. La surprise vient de Lauryn Hill (10), gros succès certes de 1998, mais elle repousse...Revolver des Beatles (!) à la 11ème place ! Un peu absurde. La 1ère place échoit à l'excellent what's going on de Marvin Gaye, mais "meilleur album de tous les temps", vraiment ? Et très franchement, on peut facilement se passer de Rumours de Fleetwood Mac, mais nettement moins d'Axis:Bold As Love (Jimi Hendrix) ou Exile (Stones). Les autres classements concurrents ne sont pas toujours pertinents non plus. Le NME britannique aime surtout les Smiths (No 1!) et Pitchfork fait de nous des ignorants crasses. Toutefois ce dernier a le mérite - dans ses classements par décennie - de ne pas oublier Bowie, les Clash, Bob Marley, Talking Heads, Radiohead ou Arcade Fire. Mon Top 10 personnel il est vrai est tout aussi subjectif et ne dépasse pas vraiment les 90's.

 

         

NECROROCK


(certaines vidéos issues de You Tube sont parfois indisponibles pour cause de droits d'auteur)

 

2023

 

Melanie, une chanteuse pop/rock/folk à la voix si particulière.

 


Shane MacGowan (The Pogues)

 

GEORDIE WALKER (KILLING JOKE)

(back to the eighties!)

 

ROBBIE ROBERTSON (THE BAND)

 

MURAT, on ne s'y attendait pas. C'était un vrai rocker, pas un chanteur lambda. Vu à Bernay en 1999 ou 2000 (album Mustango). Il était grippé, malade et désagréable mais j'ai adoré son concert !

 

IKE ET TINA ED SULLIVAN SHOW 1970

 

Cette ligne de basse, c'est Andy Rourke...avec bien sûr les SMITHS. Je verse une larme, vraiment.

 

Keith Reid, le parolier inspiré de Procol Harum (ici un extrait de Broken Barricade diffusion sur "Pop2", 1971)

 

Tom Verlaine, guitariste du mythique groupe Television (Marquee Moon)

 

Mon ami Julien Bitoun lui rend un bel hommage sur You Tube

 

The Specials, Fun Boy Three, Colourfield...Terry Hall c'est MA GENERATION!

 

On a du mal à suivre le rythme des mauvaises nouvelles dans le monde vieillissant du rock. Maintenant, Jeff Beck...l'un des tout meilleurs guitaristes britanniques et peut-être le plus inventif dans sa catégorie. Il reprend ici magnifiquement le "Day in the Life" des Beatles. Mais plus qu'une reprise, c'est une réinterprétation beckienne !

2022

 

Christine McVie, qui chantait et jouait du piano avec Fleetwood Mac, l'un des groupes popnqui a cartonné dans les années 70. Personnellement je l'ai découverte avec le groupe de blues Chicken Shack sous le nom de Christine Perfect (avec le guitariste Stan Webb, excellent). Le groupe est même passé en 1968 à Pleyel et à la TV française dans "Bouton Rouge".

 

"Words" de Low dans une superbe version en public de 2013. A la batterie Mimi Parker, morte d'un cancer en novembre 2022. Elle avait 55 ans...

 

 

Jerry Lee Lewis dans l'un de ses plus gros succès "Balls of Fire" (1957, en couleurs). je crois qu'il n'y a plus de pionniers du rock vivants.

 

L'une des grandes dames de la country music, Loretta Lynn, ici en 2016 avec Willie Nelson, morte à un âge respectable. Mais quelle voix!

 

Andrew Fletcher (à gauche, aux claviers) dans la 1ère mouture de Depeche Mode et le tube "Just can't get enough" avec Vince Clark, une archive de l'INA. Qu'est ce qu'ils étaient jeunes et mignons ! C'est frais, pop et dansant, les années 80 à leur meilleur.

 

SWELL & David Freel...

 

TAYLOR HAWKINS était un vrai batteur de rock, au service d'un vrai groupe de rock (le dernier des Mohicans du post-grunge ?), les Foo Fighters. One of these days ? (un live hommage aux Beatles dont ils ont repris les costumes de 1963/64.

 

GARY BROOKER & PROCOL HARUM. On résume souvent Procol Harum à ce mégatube de 1967 (génial au demeurant) mais le groupe de Brooker a fait de très bons albums dans les années 1960/70.

 

 

Last flight to Kaboul...et Last Trip for Mark Lanegan...

2021

 

Robbie Shakepeare, l'un des plus grands bassistes de reggae/jazz/funk...et variété rock. Sly Dunbar était l'autre partie (batterie) de cette rythmique de grande classe.

 

Meat Loaf. Bon, je n'ai jamais été très porté vers ce genre de musique, mais c'est aussi une partie de l'histoire du rock, tendance rocky horror picture show. Autre victime du covid ?

 

Steve Bronski (61 ans) du groupe Bronski Beat (avec Jimmy Somerville) et les inoubliables clips de Why ? et Smalltown Boy. Qu'est ce qu'on a pu danser là-dessus (à la Locomotive notamment) dans les années 1980! Et c'était l'un des premiers groupes pop ouvertement gay.

 

Goodbye Charlie. J'ai choisi cette formidable session live de 1965 en Irlande, avec Brian Jones bien sûr (et pas ce clown de Ron Wood) et un Charlie Watts qui donne parfaitement le tempo sur "The Last Time".

 

Don est à droite. Les Everly Brothers ont eu une influence majeure sur la pop music du début des sixties. Cette chanson est l'une de mes chanson pop préférées, toutes catégories confondues.

 

Dusty Hill, THE bassist de ZZTOP!

 

Ce n'est certes pas du rock mais l'influence du pianiste Chick Corea est immense, en particulier sur le genre hybride du jazz-rock, "inventé" par Miles Davis à la fin des années 60 (Bitches Brew en 1970 avec Corea justement) et poursuivi par toute une génération virtuose. On passera sur la spiritualité de pacotille du personnage (la scientologie) pour se concentrer sur son génie musical, ici en 2011 à Vienne avec Return to Forever et...Lenny White, Al di Meola, Stanley Clarke, Jean-Luc Ponty!).

 

L'année 2021 débute avec la mort du producteur Phil Spector. Passons sur le personnage, complètement barré et qui d'ailleurs a fini sa vie en prison pour meurtre. Sur le plan musical, si l'on excepte les années 1960 (les Ronettes et d'autres groupes à tubes), j'ai toujours détesté le travail de Spector pour les Beatles ou les ex-Beatles, les Ramones ou Leonard Cohen. Le pire souvenir est celui du massacre de Rock n'roll de John Lennon...un disque qui aurait pu être un chef d'oeuvre - mais épuré du son Spector.

 

2020

50ème anniversaire de la mort de John LENNON (décembre 1980- décembre 2020) : a tribute

 

Pas mal d'esbrouffe (son "tapping"), comme d'ailleurs la plupart des "guitar heroes" (Hendrix compris, sauf à ses débuts en 66/67). D'un autre côté, c'est un peu la loi du genre depuis Cream, Led Zep ou Ten Years After...Pour ma part, quelques notes de Duane Allman ou de J-J Cale suffisent à mon bonheur guitaristique. Et si l'on veut de la prolixité...Jerry Garcia ou Zappa. De l'inventivité, Jeff Beck ou Allan Holdsworth. Reste que comme il est difficile d'imiter Eddie Van Halen (ou Brian May), celui-ci va rester une référence dans l'histoire du rock!

 

Ouh là ! Toots Hibbert (& the Maytals, son groupe de reggae) était un musicien du calibre d'un Bob Marley. Le (la?) covid encore, semble t-il...

 

 

Peter Green, l'un des héros du British Blues Boom (il fut guitariste de Mayall) et l'un des fondateurs de Fleetwood Mac.


 

Dave Greenfield, le clavier des Stranglers, nouvelle victime du covid dans le monde du rock. On a dansé au Palace et à la Loco sur "Always the sun"et d'autres tubes post-punk du début des 80's. "Feline" reste un album emblématique des années 1980.

 

 

Tony Allen, c'est un monument de la batterie et de l'afro-beat (Fela), mais aussi un musicien très ouvert aux influences rock (cf. Damon Albarn, The Good, the Bad & The Queen, Gorillaz).

 

John Prine, déjà bien malade, n'aura pas résisté au covid 19. Il nous aura laissé tout de même un formidable dernier album,au niveau des derniers Johnny Cash. Ici, dans un légendaire et récent Tiny Desk Concert.

 

Christophe, chanteur de rock glamour ? Oui, assurément, un dandy "beau bizarre" à l'esprit bluesy et à la vie rock n'roll, un amoureux du beau son, qui n'a pas fait que des tubes sixties/seventies (Les Marionnettes) mais aussi de très bons albums pop, ainsi le récent Vestiges du chaos (2016).

Bon, on l'aimait bien, Christophe.

 

Bill Withers, probablement l'un des plus grands chanteurs de soul music. Son (double) album Live at the Carnegie Hall (1975) est l'un de mes préférés (et peut-être même dans mon Top 100!)

 

Manu Dibango (ici en 2016 à Bobigny dans un morceau de reggae) a joué tous les styles avec bonheur (afro-jazz, reggae, soul, variété...) et ses collaborations avec le monde du rock ont été nombreuses (Peter Gabriel, entre autres). Une des premières vedettes de la world music victime du covid.

2019

 

Ginger Baker (jouant son morceau de bravoure Toad avec Cream, reformé pour les concerts du Royal Albert Hall en 2005. Baker n'était pas seulement le batteur de Cream mais aussi d'une série de groupes mariant le jazz, le rock, la musique africaine...Batteur d'exception (même s'il y a certes plus technique et plus raffiné), il s'était encore produit au New Morning en 2015 avec son groupe de jazz Confusion.

 

RICK OCASEK (THE CARS)

 

Philippe Pascal de "Marquis de Sade", groupe rennais qui en 1979 était l'équivalent français de Joy Division. Philippe Pascal semble avoir fait le même choix que Ian Curtis mais quarante ans (ou presque) plus tard.

 

Mark Hollis, 64 ans au compteur...génial chanteur et compositeur de Talk Talk, qui après deux ou trois tubes planétaires (Such a shame...) a produit quelques uns des plus beaux (et rares) disques de la période 1986-1998.

Peter Tork des Monkees (ici il joue du clavier), groupe pop emblématique des années 1966/68 avec quelques chansons certes très commerciales mais sacrément efficaces!

 

Bon, Prodigy et le cybor punk Keith Flint, ça n'a jamais été ma tasse de thé britannique mais le groupe a incontestablement marqué la scène électro des années 1990/2000.

 

1980-2018, John Lennon était assassiné le 8 décembre à NYC

2018

 

Pete Shelley (mort en ce debut décembre) & the Buzzcocks en 1978 !

 

Formidable version de la chanson des Beatles par Aretha Franklin au Fillmore (West) en 1971 (décidément les Fillmore East & West ont accueilli quelques concerts mythiques cette année-là).

 

Jacques Higelin avec Louis Bertinac, le guitariste ex-téléphone, musicien de la période rock (1975-1979) du chanteur amoureux de Trénet. Ici en 1994 sur France 2.

 

Evidemment, on ne peut résumer la carrière de Didier Lockwood à sa participation au collectif Magma, le groupe un peu barré de Christian Vander, mais cela montre bien l'éclectisme musical du violoniste de jazz, aussi à l'aise en compagnie d'artistes classiques, de musiciens de rock qu'avec les meilleurs jazzmen de la planète (Michel Petrucciani, Mike Stern, Birelli Lagrene etc). Je l'ai vu deux fois sur scène : brillant, généreux, inspiré.

 

Dennis Edward was a rolling stone ! (ici en solo crooner)

 

Ce fut quand même avec l'Irlandaise Dolores O'Riordan au chant un sacré tube dans les années 1990.

 

Bon, après Lemy Kimlister, les hardeux sont (encore) en deuil avec "Fast" Eddy Clark, le dernier survivant du Motörhead d'origine. C'est très assommant mais quand même, c'est bien du rock'n'roll !

 

Ray Thomas, un des membres fondateurs des Moody Blues, mort en janvier 2018. Ici, il joue de la flute en 1970 dans une prestation live à Paris à la Taverne de l'Olympia. Un morceau assez proche de "Traffic" (on croirait entendre Chris Wood).

2017

 

Notre Johnny "national" dans les années 1990 à la Cigale, adaptant un bon vieux rock de Chuck Berry (O Carol). Autant le dire franchement, j'ai toujours détesté, non pas Johnny (plutôt sympa et vraiment rock'n'roll) mais sa musique. Sauf peut-être son énergie teenage des débuts (1960-63) et éventuellement sa période Michel Berger au milieu des années 1980 (Tennessee)

 

Les deux frères Young à la guitare : manque désormais Malcolm (11/17)

 

Vu Fats Domino en 1992 pour un concert exceptionnel au festival "swing in Deauville". Nous étions 500 privilégiés !

Ain't that a shame?

 

Tom Petty, ici avec les excellents Traveling Wilburys (Bob Dylan, George Harrison, Jeff Lynne...). Quel bonheur de jouer du rock! La dernière production de Petty a été l'album (excellent par ailleurs) de Chris Hillman.

 

Walter Becker (Steely Dan) en septembre 2017 (ici en 1975 c'est le binoclard qui joue si bien de la guitare !)

 

Greg Allman, mort en mai 2017, qui a laissé un dernier disque magnifique enregistré aux studios FAME de Muscle Shoals.

 

Allan Holdsworth (ici avec Soft Machine à Montreux en 74), mort en avril 2017 : un génie (méconnu ?) je vous assure.

 

Chuck Berry (mort en mars 2017). LA SOURCE.

2016


ALLELUIA!

LE PRINCE DU FUNK ET DU SEXE

 

(1958-2016), in memoriam

George Martin, mort le 9 mars 2016

Difficile d'établir désormais une rubrique nécrologique exhaustive car le rock perd beaucoup de ses musiciens depuis quelques mois (Bowie, Glenn Frey). Pour le seul début mars 2016, c'est le rock progressif qui est concerné avec le décès de Chris Squire (excellent bassiste de Yes) et de Keith Emerson (clavier de ELP entre autres). Puis fin avril, Prince, musicien nettement plus jeune et dont la mort reste assez mystérieuse. Notons que ce dernier a été célébré dans la presse comme l'un des plus grands artistes rock/funk (inclassable en fait) de tous les temps. Il fut certes une star planétaire au milieu des années 80 et un showman exceptionnel, mais dans les années 90, plus grand monde n'écoutait Prince...

 

tribute to Paul Kantner

Une de mes chansons préférées du rock psychédélique

tribute to David Bowie

 

On savait David en petite forme depuis 10 ans mais rien n'annonçait ce décès prématuré du chanteur pop. Je suis "bercé" par Bowie depuis mon adolescence. En réalité, j'ai découvert David Bowie en Angleterre en 1973 : Life on Mars était au sommet du Hit-Parade et Ziggy sortait le disque transgenre Aladdin Sane.

 

Le dernier clip de Bowie, Lazarus (tiré de Black Star), superbe titre aux tonalités new wave, sorte de testament esthétique et mucical.

tribute to Lemy Kilmister

 

(à dire vrai, j'ai découvert Kilmister bassiste/chanteur de Hawkwind au début des années 1970 et je n'ai jamais ensuite acheté de disque de Motörhead ! Il n'en reste pas moins que ce groupe était pur rock'n'roll, comme les Ramones par exemple et pas seulement "hard" ou "metal")

2015

  

Des obscurantistes fanatisés massacrent des jeunes (et des moins jeunes) qui écoutent du rock'n'roll: écouter du rock mais surtout continuer à assister aux concerts de rock, c'est cela aussi la résistance démocratique !

2014

 

tribute to Joe Cocker (décembre 2014)

 

tribute to Jack Bruce mort en octobre 2014

 

Nick Talbot (Gravenhurst) mort...à 37 ans....

2013 (une année terrible!)

tribute to Lou Reed (mort en octobre 2013)

Article sur la mort de Lou REED

(sa dernière photo, quelques heures avant sa mort)

 

Sweet Jane...& The Velvet, Olympia 2005 (inoubliable...)

 

tribute to J-J CALE

Probablement l'un des meilleurs guitaristes américains de blues rock

 

tribute to Ray Manzarek

A l'orgue : c'est LE son des Doors !

 

TRIBUTE TO RICHIE HAVENS (mort fin avril 2013)

la génération Woodstock est en plein deuil...(en mars 2013 Alvin Lee) 

 

Kevin Ayers, l'un des fondateurs de Soft Machine

GROUPES ET MUSICIENS DES SIXTIES (sixties beat & psychedelic revival)

Syd Barrett
Beach Boys
The Beatles
Big Brother & The Holding Company
The Boxtops
Eric Burdon & Animals
Cilla Black
Buffalo Springfield
The Byrds
Captain Beefheart
Johnny Cash
Petula Clark
Country Joe & The Fish
Creedence Clearwater Revival & Fogerty

The Cream
Crosby Stills and Nash
Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich
The Doors
Donovan
Dylan (Bob)
The Everly Brothers
Adam Faith
Four Seasons
Leslie Gore
Moby Grape

The Grateful Dead
Jimi Hendrix
The Hollies
Incredible String Band
Jefferson Airplane
The Kinks
Manfred Mann
John Martyn
Van Morrison (Them)


Laura Nyro
Roy Orbison
Pink Floyd

Pretty Things
Procol Harum
Quicksilver Messenger Service
Otis Redding
Sir Cliff Richard
Marty Robbins
Rolling Stones
The Searchers

The Shadows
Del Shannon 
Small Faces
Spencer Davis Group
Lovin' Spoonful
Dusty Springfield
Steppenwolf
Swinging Blue Jeans
Cat Stevens
Traffic (&Jim Capaldi)
Troggs
The Turtles
Tyrannosaurus Rex/Marc Bolan

Vanilla Fudge
Jimmy Webb
The Who

Yes
The Yardbirds
Led Zeppelin
The Zombies

2. seventies revival

près de 200 groupes et artistes des seventies

I

Incredible, ils ont presque tous (ceux qui sont vivants) un site officiel et beaucoup font encore des tournées !!!

  1. AC/DC
  2. Aerosmith
  3. The Allman Brothers Band
  4. America
  5. Average White Band
  6. Kevin Ayers
  7. Bachman-Turner Overdrive
  8. Bad Company & Paul Rodgers
  9. Badfinger
  10. The Band
  11. Jeff Beck
  12. Bee Gees
  13. The B-52'
  14. Black Sabbath
  15. Blondie
  16. Blood, Sweat & Tears
  17. Blue Oyster Cult
  18. Boston
  19. David Bowie
  20. James Brown
  21. Jackson Browne
  22. Eric Burdon
  23. The Buzzcocks
  24. Can
  25. Caravan
  26. The Cars
  27. Chic
  28. Cheap Trick
  29. Chicago
  30. The Clash
  31. Eric Clapton
  32. Jimmy Cliff
  33. Joe Cocker
  34. Colosseum
  1. Alice Cooper
  2. Elvis Costello
  3. Creedence Clearwater Revival
  4. Jim Croce
  5. Crosby, Stills, Nash & Young
  6. Deep Purple
  7. John Denver
  8. Derek &the Dominoes
  9. Devo
  10. Neil Diamond
  11. The Doobie Brothers
  12. Nick Drake
  13. Bob Dylan
  14. The Eagles
  15. Earth, Wind & Fire
  16. Electric Light Orchestra
  17. Emerson, Lake & Palmer
  18. Brian Eno
  19. The Faces
  20. Fleetwood Mac
  21. Dan Fogelberg
  22. Foghat
  23. Foreigner
  24. Aretha Franklin
  25. Peter Frampton
  26. Funkadelic
  27. Peter Gabriel
  28. Gang of Four
  29. David Gates
  30. Marvin Gaye
  31. The J. Geils Band
  1. Genesis
  2. Grand Funk Railroad
  3. Grateful Dead
  4. Isaac Hayes
  5. Al Green
  6. The Guess Who
  7. George Harrison
  8. Hawkwind
  9. Heart
  10. Jimi Hendrix
  11. The Hollies
  12. Humble Pie
  13. Michael Jackson
  14. Jefferson Starship
  15. Jethro Tull
  16. Billy Joel
  17. Elton John
  18. Rickie Lee Jones
  19. Janis Joplin
  20. Joy Division
  21. Steve Hackett
  22. Kansas
  23. Carole King
  24. King Crimson
  25. The Kinks
  26. Kiss
  27. Kraftwerk
  28. Led Zeppelin
  29. John Lennon
  30. Gordon Lightfoot
  31. Little Feat
  32. Loggins And Messina
  33. Lynyrd Skynyrd
  34. Mannassas
  35. Bob Marley & The Wailers
  36. John Martyn
  37. Dave Mason
  38. Curtis Mayfield
  39. Paul McCartney
  40. PaulMcCartney/Wings
  41. Don McLean
  42. Meat Loaf
  43. Steve Miller Band
  44. Joni Mitchell
  45. The Modern Lovers
  46. Montrose
  47. The Moody Blues
  1. Van Morrison
  2. Mott The Hoople
  3. Mountain & Leslie West
  4. Moon Martin
  5. The Move
  6. Graham Nash
  7. Nazareth
  8. Willie Nelson
  9. Randy Newman
  10. The New Riders of the Purple Sage
  11. The New York Dolls
  12. Harry Nilsson
  13. The Nitty Gritty Dirt Band
  14. Pentangle
  15. Graham Parker
  16. The A. Parsons Project
  17. Gram Parsons
  18. Tom Petty& the Heartbreakers
  19. Pink Floyd
  20. Iggy Pop/The Stooges
  21. Iggy Pop
  22. Procol Harum
  23. Queen
  24. Gerry Rafferty
  25. Ramones
  26. Lou Reed
  27. The Rolling Stones
  28. Linda Ronstadt
  29. Roxy Music
  30. Todd Rundgren
  31. Leon Russel
  32. Santana
  33. Boz Scaggs
  34. Savoy Brown
  1. Bob Seger
  2. The Sex Pistols
  3. Simon & Garfunkel -
  4. Paul Simon
  5. Sly & The Family Stone
  6. Patti Smith
  7. The Specials
  8. Bruce Springsteen
  9. The Stranglers
  10. Ringo Starr
  11. Status Quo
  12. Steely Dan
  13. Cat Stevens
  14. Al Stewart
  15. Rod Stewart
  16. Supertramp
  17. James Taylor
  18. Talking Heads
  19. Television
  20. 10cc
  21. Thin Lizzy
  22. Three Dog Night
  23. Traffic
  24. T. Rex
  25. Robin Trower
  26. Uriah Heep
  27. Van der Graaf
  28. Van Halen
  29. The Velvet Underground
  30. Rick Wakeman
  31. Tom Waits
  32. Wishbone Ash
  33. War
  34. The Who
  35. The Edgar Winter Group
  36. Johny Winter
  37. Bill Withers
  38. Stevie Wonder
  39. Steve Winwood
  40. Gary Wright
  41. XTC
  42. Yes
  43. Neil Young
  44. ZZ Top

 

LA PLAY LIST IDEALE (?)

Voici quelques disques - en format mp3 ? non! avec les pochettes vinyl originales et une platine de préférence ! - que je garde pour passer une retraite heureuse sous les cocotiers (plutôt d'ailleurs sous les sapins), sans se lasser le moins du monde. J'ai fait ce choix très subjectif sans trop réfléchir et je me suis arrêté en fait en...1992 pour le Top 10. Curieusement, rien ne m'est venu spontanément à l'esprit dans les années 1990/2000/2010, même si le rock est encore resté très créatif et j'écoute un peu ce qui sort. Evidemment, il y a plein de disques et de périodes oubliés, sacrifiés: c'est la loi du genre. Cela manque de voix féminines notamment.

Disque 1 : Beatles, Revolver (1966). Premier disque rock écouté en boucle sur un électrophone et tout particulièrement la chanson Got to Get You into My Life. Une chance. Mes parents n'avaient pas beaucoup de disques pop et préféraient la chanson à textes (Béart, Brel, Brassens, Barbara, Ferrat), mais leur discothèque contenait malgré tout Revolver, un Joan Baez (disque Vanguard made in the USA avec la Belle indienne en cover) et quelques 45 tours insolites (yeah, deux Kinks!). Bref, Revolver est mon LP préféré des Beatles et le début d'une longue histoire intellectuelle avec ce groupe mythique et inépuisable ! je l'ai réécouté récemment dans la version CD remastérisée qui est proche du son du disque (pressage US stéréo), les défauts de gravure en moins.

Disque 2 : Rolling Stones, Let it Bleed (1969). Etes-vous Beatles ou Stones ? Incontestablement Beatles car j'aime les belles mélodies pop. J'ai découvert la discographie des Stones au début des années 70 avec Exile on main Street puis It's only rock'n'roll. Le départ de Mick Taylor et l'arrivée de Ron Wood m'ont définitivement fâché avec le groupe mais j'ai redécouvert alors toute leur fabuleuse production des sixties. Let it Bleed - tout comme Beggars Banquet - est un album d'une densité et d'une violence rarement égalées dans le rock. Exile on Main street , enregistré sur la côte d'azur, est également un chef d'oeuvre blues-rock (récemment réédité avec des inédits).

Disque 3 : John lennon & Plastic Ono Band (1970). Je suis un fan assez inconditionnel de John Lennon, même si le personnage n'était pas toujours très sympathique. Son premier disque solo, très épuré (la batterie lourde et basique de Ringo, la basse organique de l'artiste Klaus Voormann) sinon minimaliste (l'influence de Yoko?) est une sorte de cri primal et de bouée de sauvetage après la séparation des Beatles. C'est magnifique, à l'image d'une pochette pointilliste devenue un classique des rock covers : Mother, Working class heroe, Remember, Isolation, God...Les autres disques solo de Lennon seront plus inégaux, même le mythique Imagine.

God is a concept

By which we mesure our pain

Voilà qui n'aidait pas à garder la foi !

Disque 4 : Leonard Cohen, Songs for Love and Hate (1970). La découverte du poète canadien au début des années 70 m'a incontestablement poussé à jouer de la guitare. J'ai appris consciencieusement tous ses morceaux et arpèges, afin de dépasser un peu le Suzanne des feux de camp (Graeme Allwright). A dire vrai, les paroles étaient un peu hermétiques, tout comme celles de Dylan, mais quelle voix splendide. Le très sombre Songs for Love and Hate reste mon préféré (malgré quelques titres plus faibles) et je pense que Jean-Louis Murat serait d'accord avec moi !

Disque 5 : Hot Tuna, Live in New Orleans (1970). La partie guitare du Jefferson Airplane (Cassady/Kaukonen) dans un exercice de blues acoustique intemporel et magique. Avec même le bruit d'un verre cassé live...Certes, cela reste du blues "blanc", mais aussi bon (comme Clapton à son meilleur) que les originaux noirs et j'ai appris la guitare en jouant ce disque (avec le précédent sur la liste). Vus les deux compères il y a vingt ans au festival de blues de...Cléon sur Seine et acheté un T-shirt Hot Tuna à Jorma en chair et en os sur le stand !!!

Disque 6 : David Bowie, Hunky Dory (1972) Bowie ! Quel choc dans l'Angleterre du début des seventies que ce personnage transgenre de Ziggie ! Et Life on Mars No 1 du Top of the pops ! La discographie de Bowie est inégale (comme celle de Lou Reed, tiens j'aurais pu sélectionner le magnifique Berlin), mais ses opus des années 1969-1976 sont devenus des classiques du rock, de Space Oddity à Station to Station. Bref, Hunky Dory est un album intemporel, avec très peu de déchet (une chanson un peu plus faible, peut-être) et des sommets d'art pop, comme cette chanson dédiée à Andy Warhol, la muse de tous ces arty-rockers-glam-décadents.

Disque 7 : Traffic, When the Eagle Flies (1974). A dire vrai, je suis membre d'un seul fan club et c'est celui de Traffic, groupe britannique d'abord psychédélique puis de fusion rock/folk/jazz autour du petit génie Steve Winwood (le seul rescapé aujourd'hui, avec David Mason, replié aux States). Choisir un disque de Traffic relève pour moi de l'exploit, mais sentimentalement, c'est le dernier album avant leur disparition (le groupe se reformera toutefois dans les années 1990, avec une tournée en 1994).

Disque 8 : Bob Dylan, Blood on the Track (1975). Il y a à prendre et à laisser dans la discographie de Robert Zimmermann mais très peu à jeter entre 1963 et 1975. Dès la première écoute de Blood on the Tracks, j'ai pressenti le chef d'oeuvre "absolu". Régulièrement, je joue presque tout le disque à la guitare, avec une préférence pour You're a Big Girl Now et toujours les mêmes difficultés à tenir la distance. Dylan est l'un des grands artistes du XXème siècle et il est un pan de l'histoire américaine du XXème siècle (Grail Marcus). Prix Nobel ? Et oui, c'est arrivé !

Time is like a jet plane/It moves too fast

Disque 9 : The Cure, Pornography (1982). Entre 1976 et 1981, je suis passé un peu à côté du punk, pas ma tasse de thé ou trop vieux (?), même si j'aimais bien The Clash et Talking Heads, et aussi les Ramones. Période baba-cool et mâtinée country & western et estampillée CSN&Y. Mais New Order et The Cure ont changé la donne. La trilogie Seventeen seconds/Faith/Pornography demeure un sommet de ce qu'on a appelé la cold ou new wave plus ou moins "gothique" (vite noyée dans les synthétiseurs et la disco pop, à l'exception peut-être de l'excellent Depeche Mode, groupe toujours créatif), mais ce sont surtout des albums magnifiques. En concert, ce n'était pas mal non plus (Olympia 1982 surtout, puis Zénith 1984, quasi mystique)...Depuis Robert Smith se maquille, boit, se répète et se parodie. Mais il reste le sublime Pornography pour les jours (très) sombres.

Disque 10 R.E.M, Automatic for the People (1992). Ce groupe d'Athens (Georgie, USA) fut l'une des bouffées d'oxygène rock du début des années 80 avec les Smiths et Morrissey. Automatic est un petit miracle musical (Up aussi est très bon, tout comme New adventures in Hi-Fi), que l'on peut écouter en boucle avec le même bonheur - enfin bonheur je ne sais pas puisque l'on raconte que Kurt Cobain en avait fait son CD de chevet avant inventaire...REM est en tous cas l'un des rares groupes des années 80 à continuer à faire de bons disques et de bons concerts, jusqu'à son éclatement.

 * Les autres disques finalement mis à l'écart (dans le désordre) :

Neil Young, Harvest ou n'importe quel autre en fait, Comes a Time, Zuma, On the Beach, Harvest Moon...c'est presque un scandale d'avoir écarté le Loner mais je ne savais pas quel disque garder! Même les derniers, j'aime bien (psychededelic pills, Monsanto years etc. etc. Neil en sort au moins un tous les ans,sans compter les archives).

Morrissey, Viva Hate. Dandy dépressif et inspiré, Morrrissey fait sonner l'album Viva Hate comme un ultime disque des Smiths et même sans Johnny Marr il n'y a rien à jeter, cela s'écoute en boucle...

Joni Mitchell, Blue (ou Court & Sparks?) : une grande dame, surtout dans les 70's, avec une voix superbe, toute en finesse. Elle a aussi inspiré les jazzmen (Hancock). Un bijou folk.

Talking Heads, Remain in Light : Brian Eno à la production, ça pulse ! Ma seule véritable incursion punk fut celle des Talking Heads entre 1977 et 1979.

Paul Kantner & Grace Slick, Sunfighter : j'adore ce disque néo-psychédélique et il sonne aujourd'hui encore très bien avec la voix éthérée de Grace Slick et ses guitares acoustiques planantes.

Ian Hunter, All Americain Alien Boys : du glam façon Mott ? Non un album dylanien toujours très très attachant.

Johnny Cash, American III (ou I ou II ou IV ou V!) : une voix magnifique et j'aime la country, c'est ainsi...Les derniers enregistrements de Nash ante mortem sont fabuleux, produits par Nick Rubin.

Robert Wyatt, Rock Bottom : Un ovni que ce disque et le début d'une carrière sans concession pour ce musicien très original, parfois génial.

Tim Buckley, Goodbye & Hello : trop tôt disparu, comme son fils, c'est le tragique du rock?

The Pentangle : le premier disque en 1968 de ce groupe de folk britannique mythique , avec la voix éthérée de Jacqui McShee et les guitares de John Renbourn et Bert Jansch (les deux compères ont longtemps complexé le guitariste folk en herbe que j'étais. Aujourd'hui, je relativise un peu...mais un peu seulement).

Pink Floyd, Atom Heart Mother : cela n'a pas pris une ride, incroyable, quel son ! Un classique aujourd'hui étudié pour le bac musique en compagnie de Bach et Ravel.Si,si!

Jimi Hendrix, Axis:Bold As Love : Hendrix avant les outrances électrico-psychédéliques. The blues, man.

Lou Reed, Berlin : Lou Reed s'est peut-être pris trop au sérieux comme poète rock. Mais il a été l'âme musicale du Velvet et il a commis des chefs d'oeuvre, dont celui-ci.

Iain Matthews, If you saw thru my eyes : j'aime ce chanteur (vu en 2000 à Paris devant 15 personnes alors qu'il fut une star), tout comme j'aime aussi le suivant.

Ramones, Ramones : le meilleur du punk/rock US brut de décoffrage. Pas de chichis en moins de trois minutes! Impossible que ça vieillisse.

Jackson Browne, The Pretender : Mon Californien préféré, écolo-compatible.

Doors, LA Woman : Rien à dire, c'est un grand disque et les Doors sont toujours vivants (je veux dire plutôt immortels).

New Order, Low-Life : Joy Division trop déprimant, New Order, c'est un son mancunien qui est vraiment particulier, hypnotique. J'ai toujours été un fan.

Dans un registre assez proche, mais plus torturé encore, Depeche Mode. J'ai acheté tous leurs premiers albums dont j'aimais le son et les pochettes, jusqu'à Violator.

The Who, Quadrophenia(is it me for a moment?): opéra-rock ambitieux mais c'est toute l'histoire des Mods...

Pale Fountains Pacific Street : un disque culte de Michael head et son groupe de l'époque, The Pale Fountains...J'ai ajouté The Magical World of the Strand (1997), tout aussi culte mais passé un peu plus inaperçu...

Divine Comedy, Regeneration : Le surdoué se prend au sérieux et n'est pas toujours très égal sur scène, mais ce disque est vraiment très homogène.

JJ Cale, Roll on : l'un des meilleurs (et l'un des derniers) albums du guitariste américain qui a tant donné au blues/rock depuis le début des années 70.

Donovan, Sutras : un album miraculeux, sorti en 1996 et produit par le légendaire Nick Rubin sur le label American (cf. les disques qui ont réssuscité Johnny Cash). Miraculeux car poétique, éthéré, comme suspendu dans le temps et l'espace. De toute évidence, la suite (apaisée et moins commerciale) au Cosmic Wheeels de 1973.

Gene Clark des Byrds en 1974. Un disque intemporel, vraiment. Il faut racheter le collector avec des versions acoustiques inédites, presque meilleures que les originales à la production un peu chargée.

Tom Petty & Heartbreakers, Into the Great Wide Open (1991). Mort en 2017, l'Américain nous manque, tout comme sa musique (il était encore sur scène quelques jours avant sa mort). Ce disque très rock est la quintessence du talent de Tom.

Midlake, The Courage of Others : petit miracle encore et celui-là daté de 2010, donc le baba folk/rock se porte bien, merci ! (écouter Bon Iver, the National, Other Lives etc.)

Radical Face (Ben Cooper), The Family Tree: The Branches. Nouvel opus de la saga familiale du projet Family Tree, maintenant à la fin du 19ème siècle. C'est superbe. Vu sur scène il y a deux ans dans une ambiance intimiste.

 

 

CONCERTS & PHOTOS

2022

"THE CURE" A BERCY

Je suis allé à Bercy avec mon fils aîné, initié à la secte curiste dans les années 1990. On pouvait craindre le pire, même si les précédentes prestations du groupe étaient honorables (en 2019). Mais il y a de nouveaux morceaux (avec un nouveau disque à venir ???), un son maîtrisé et de bonnes reprises de morceaux rares ("Charlotte sometimes") ou emblématiques de la période Pornography. Le seul bémol concerne la fin du concert et le deuxième rappel, constitué de titres pop ayant cartonné dans les années 1980. Les chansons ne sont pas en cause mais le volume sonore a été poussé trop fort et la batterie a touté écrasé de la (relative) légèreté de "Friday I'm in Love" par exemple.

2020

Une rareté en 2020 : non pas Laurent Voulzy, mais un concert !!! Voulzy a bénéficié d'une petite fenêtre musicale à la rentrée de septembre et il s'est produit notamment dans la très vaste basilique de Lisieux. Un beau concert ma foi (?), mais c'était surtout pour avoir le plaisir de retrouver un public, une scène, de la musique live.

Henri Texier quintet au duc des Lombards (29 novembre 2019), lequel a repris leur superbe album Sand Woman, essentiellement d'anciens morceaux révisités par cet épatant groupe formé par ce contrebassiste de légende (le Charlie Haden français pour tenter des comparaisons) et qui comprend en outre un guitariste, deux saxos et divers (dont son fils) et un (jeune batteur). Un set en immersion jazzy, un vrai bonheur.

John Cale à la Philarmonie de Paris (25 septembre)

Claudiquant et fatigué, John Cale est venu à la Philarmonie (en fait la grande salle de la cité de la Musique) faire le tour d'horizon de sa carrière riche et éclectique. Mais John Cale n'est pas le Leonard Cohen - émouvant, charismatique et inspiré - des dernières années. Accompagné par un groupe de deux guitaristes, une bassiste et un batteur, lui même évoluant à la guitare, au chant et aux claviers, John Cale donne le ton dès les premiers morceaux, expérimentaux et bruitistes, une souffrance physique pour les oreilles. Je n'ai même pas attendu la reprise pathétique de l' Hallelujah de Cohen - je m' étais replié dans un couloir - pour quitter la salle sans regret. Et avec la ferme intention de ne plus alller voir les vieilles gloires passées, même celles - et surtout celles - qui ont été des légendes du rock.

Belle & Sebastian, Pleyel, février 2018

Reggie Washington & friends, New Morning, février 2018

LA FEMME (ZENITH, JANVIER 2017).

Un concert "en famille" pour que toutes les classes d'âge, de 18 à 58 ans puissent cohabiter dans le même concert pop. Retour au glam des années 70 et à la pop new wave des années 80, mâtinés de transes électro et de sonorités orientales, le tout dans une ambiance très déjantée qui rappelle le Magic Circus. Un show assez festif, avec près de vingt personnes sur scène...mais quel son pourri !

MCCARTNEY (BERCY JUIN 2016)

Un vrai show que ce concert parisien ! Certes, il y avait quelques fautes de goût (le synthé qui supplée un peu toute orchestration fine, le batteur lourdingue - rendez-nous Ringo!) et la voix du héros pop septuagénaire a perdu de sa juvénilité. Mais on s'est pris à rêver d'un concert entièrement semi-acoustique (ah ! la reprise sublime de In spite of all the danger, tout comme l'hommage émouvant à G.Harrison) dans une salle plus petite (l'Olympia?). Prochaine étape du "papys du rock world Tour", Neil Young, qui lui ne verse pas trop dans la nostalgie des sixties/seventies et repart sur la route avec des jeunos (30 ans) et de nouvelles chansons.

BEN COOPER & RADICAL FACE (café de la danse, avril 2016) : un public jeune et une ambiance cool, des lumières intimistes. Un set semi-acoustique qui reprend les meilleurs morceaux de la saga Radical Face (Bastards, Roots, Branches, Leaves). Dommage simplement que Ben Cooper n'ait pas vraiment présenté son projet musical/historique/poétique d'une famille américaine au 19ème siècle. Musicalement, il a vraiment un style unique et une voix frêle et haut perchée qui contraste avec son physique de déménageur. L'intégralité du concert (aux USA) se trouve sur You Tube.

THE DARK SIDE OF THE MOON (2014)

MIDLAKE AU TRIANON (2014)

CS&N, Olympia, le 7 juillet 2013 (+ Christopher Stills)

J'y étais...comme on dit. Histoire de voir une dernière fois (?) les vieux dinosaures en état de chanter leurs mélodies d'un autre temps....

CLAPTON & WINWOOD

BERCY, le 25 mai 2010 Clapton & Winwood jouant ici sur deux Fender Stratocaster blue...Il m'a fallu une lunette astronomique !

Bercy comble (ou presque), public sage 40-60 ans, un son très correct pour Bercy, une lumière assez froide et nos deux rock-héros des seventies, anciens associés de Blind Faith et de bien d'autres aventures. Un set inégal, parfois en roue libre, les choristes assez pénibles, le band assure. Les meilleurs moments sont blues (super set acoustique avec deux Martin en chorus !!!) ou rhythm & blues (gimme some lovin, Georgia chantés par Winwood), interprétation habitée et longue de voodoo child d'Hendrix avec quelques gammes brillantes de Clapton, les mêmes toutefois qu'au Festival de blues de Chicago. Certains "classiques" des deux musiciens apparaissent un peu bâclés, c'est bien moins rigoureux que leur précédent concert à Londres en 2008 et il n'y a pas l'émotion (et la classe) des retrouvailles de Clapton avec Cream (Jack Bruce et Ginger Baker). Nos papys se ménagent et ils ont raison, même si d'autres loners restent toujours de vrais jeunes gens excités (hein Neil Young ?).

Winwood solo

BOBINO, 7 OCTOBRE 2010

Le fan de TRAFFIC depuis plus de 40 ans ne pouvait faire l'impasse sur la prestation solo de Winwood, quelques mois seulement après le duo avec Clapton. Changement de décor : la petite salle de Bobino (une demi-salle en fait), une proximité intime avec les musiciens, un son vraiment valable (plus d'oreilles qui bourdonnent) et UN BON CONCERT. La formation de Winwood est proche du concept Traffic, avec un batteur, un percussionniste, un multinstrumentiste (flute, sax), un guitariste, pas de bassiste et Steve essentiellement à l'orgue Hammond. La tonalité est très rhythm & blues, avec les sonorités intéressantes du dernier album (riffs de guitares, jolis contre-temps rythmiques). Pas de doute, la partie la plus convaincante du set sur le plan musical concerne les reprises de TRAFFIC. Dans Light up and live me alone souffle l'esprit de Capaldi et son énergie d'enfer, tandis que The Low Spark of High Heeled Boys reste un classique du rock-fusion du début des années 70. Le groupe est également convaincant et très technique dans les morceaux jazzy, moins dans une ou deux ballades sirupeuses qui endorment. Les reprises éternelles de Can't find my way home ou du repertoire du Spencer Davis Group sont excellentes mais finissent par lasser l'auditeur un peu blasé. I'm a Man, certes , mais on préfererait écouter quelques perles rares, même pourquoi pas du Traffic revisited des années 1990 (Far from Home). Le caractère juvénile de Mr Winwood reste étonnant, presque un mystère et il reste toute de même le seul musicien de rock à très bien jouer de l'orgue Hammond. Un mot sur le public...plus âgé qu'au concert de Clapton, c'est un festival de cheveux blancs et de crânes dégarnis (plus d'hommes que de femmes). Au premier rang, à deux mètres de la scène, quelques papys s'agitent frénétiquement comme à la fin des sixties. Le concert était semble t-il sponsorisé par NOSTALGIE FM... Ca c'est moins cool.

 

31 décembre 2011 / LEWIS FUREY AU THEATRE DU ROND POINT

Rien n’est lisse ni calme dans l’univers de Lewis Furey. Ni dans son parcours, ni dans son tour de chant. Récital ou show, concert ou rétrospective, le Selected Songs Recital marque le retour à la chanson d’un artiste rare et libre. Ses chansons traversent les scènes et les écrans depuis près de quarante ans. Musiques et textes baignés de la lumière des lacs et des forêts, ou des nuits de New York et de Montréal. Lui, dont la presse anglo-saxonne disait qu’il n’avait « rien à envier ni à Bowie ni à Lou Reed », a bourlingué du Canada où il est né en 1949 aux studios d’Hollywood en passant par la scène rock d’une Europe qui fait tomber les murs. Quatre voix d’hommes, une voix de femme, des surprises. Un répertoire qui vient d’ailleurs, traverse le temps et les genres. Gamin, il est violoniste. Adolescent, il s’installe à New York, étudie la musique et le spectacle. Dès 1974, il enregistre les disques de ses chansons, part en tournée, compose des musiques de films, de théâtre dont Jacky Paradis de Jean-Michel Ribes ; il devient acteur, vidéaste, réalisateur. Compagne et égérie, Carole Laure est de l’aventure. À ses côtés, le maître et ami Léonard Cohen cosigne la comédie musicale Night Magic. Plus tard, il met en scène Starmania, puis s’inspire d’Antoine et Cléopâtre de Shakespeare pour créer A&C Project. L’artiste revient sur scène, ferveur intacte, déployant en tableaux ses « chansons de théâtre ».

 


A l'écoute entre mai 2023 et novembre 2023

(nouveautés )

Cow Boy Junkies

Kings of Convenience

EBTG

Sufjan Stevens

The Sparks

Milk Carton Kids

Robert Forster

Great Lake Swimmers

Midlake (live)

The Coral

avril 2023

WILCO CRUEL COUNTRY ENFIN EN CD!

juin 2022

Le dernier album de l'une des mes chanteuses préférées. Du folk ésotérique minimaliste !

avril 2022

Vraiment un super guitariste, d'origine lyonnaise, dans un style picking et inde-folk très très séduisant. Je ne m'en lasse pas, il a remplacé Big Thief.

février 2022

Big Thief et Adriane Lenker, probablement le meilleur groupe indie-folk américain actuel (en boucle depuis 15 jours)

octobre 2021

Le dernier opus des Stranglers, dont il ne reste plus que le bassiste Jean-Jacques Burnel. Groupe emblématique du post punk des années 80, incroyable sur scène et plus apaisé sur vinyl, voici une sorte de testament musical. Cela part un peu dans toutes les directions, mais "Down" est à chialer.

septembre 2021

L'album de l'Irlandais (1971), remastérisé et superbe, il n'a (presque pas) pris de rides !

avril 2021

Un nouvel opus du groupe britannique de Nottingham


I left my soul
On Californian soil
And I left my pride
With that woman by my side

février 2021

Voilà qui nous fait du bien ! Free from gravity !

novembre 2020

Une si belle voix et une musique assez entêtante, avec une pochette qui emprunte à l'esthétique des Delaunay.

septembre 2020

Les pyschedelic furs furent l'un de mes groupes préférés des années 1980/1990. Et voilà qu'il récidivent sans changer vraiment de style! Ce n'est pas très convaincant mais tant pis.

juillet 2020

« C’est un disque formidable. Dylan a compris qu’il fallait être le plus hermétique possible comme Rimbaud l’a été, du « Bateau ivre » à « Une saison en enfer ». S’il a eu le prix Nobel de littérature, c’est parce qu’il a permis aux gens d’écouter de la poésie. Ce que ni Aragon ni tous ces imbéciles que sont René Char, Jules Supervielle ou Paul Eluard n’ont été capables de faire. Connaissez-vous un ouvrier qui a lu Paul Eluard ? Alors que Dylan parle à tout le monde, parce qu’il a un sens du rythme, lui. » Hugues Aufray, juillet 2020

« Rough and Rowdy Ways » (Columbia/Sony Music)

avril 2020

Quelques belles versions sur cet album d'"inédits", en particulier Quicksand, Andy Warhol ou Lady Stardust, la meilleurs période Ziggy.

janvier 2020

Réédition d'un chef d'oeuvre (avec une édition collector impressionnante et très complète) signé Gene Clark en 1974, No Other. L'ex-musicien des Byrds, mort en 1991 n'a pas eu une vie très facile dans l'univers des addictions diverses propres au milieu rock/folk des seventies. C'est qu'il nous raconte (plaintivement?) dans No Other, à la production luxuriante et à la musicalité remarquable. L'esprit de cette musique souffle encore dans bien des productions américaines des années 2000-2020, ainsi The National, Midlake etc.

décembre 2019

Une nouvelle production de l'inépuisable Van Morrison (un album par an) et celle-ci est probablement l'une des meilleures de toute sa carrière récente. Trois accords oui bien sûr mais c'est bien cela la vérité du blues et peut-être de la musique. Déjà en 2018, The Prophet speaks annonçait la couleur. Inaltérable.

automne 2019

Un disque automnal, pour le moins. Merci pour la danse, Leonard!

RENTREE 2019

Engine Of Paradise. Le retour du barré ! (Adam Green) et le très très remarquable dernier opus de Lana del Rey

avril 2019

Réédition collector et remastérisée du très bon disque solo de Keith Richards sorti en 1986 avec des musiciens formidables. Un hommage du rock à la musique (dite) noire.

février 2019

En hommage à Mark Hollis, son dernier album (sous son nom) en 1998 et ensuite plus rien jusqu'à sa mort en février 2019. Un cas assez unique.

janvier 2019

La petite pépite pop de 1968 (The Village Green Preservation Society), rééditée en version collector XXL. J'écoutais même Preservation Act 1 & 2 au début des années 1970 !

The Kinks forever !

novembre 2018

14ème volume des "bootleg series" de Dylan et l'un des plus passionnants puisque c'est la genèse musicale en quelque sorte d'un des meilleurs disques de folk/rock du XXème siècle, Blood on the Tracks (1974). Un disque acheté l'année de mes 15 ans et écouté religieusement, sans bien comprendre d'ailleurs toutes les paroles.

octobre 2018

Ah ! Paul Weller, c'est tout à fait ma génération ! Je me souviens des Jam, notamment...Bel album de ma maturité, peut-être pas assez soul et rhythm&blues à mon goût, mais on y trouve de très belles ballades qui sentent bon la campagne anglaise.

septembre 2018

Une discographie exemplaire de ce groupe (qui accompagne aussi Ray Davies dans ses deux opus Americana). On est bien aux USA, pas de doute possible. Tout est impeccable dans ces Back Roads et Motels crasseux : production, ambiance musicale, vocaux...Mais ce sont surtout des reprises, peu de nouveautés.

juin 2018

mai 2018

Formidable concert au Roxy en 1973 avec des titres que l'on retrouvera dans Tonight's the Night et On the Beach. Neil Young at his best ! Après l'album acoustique d'archives de 1975, les fans sont gâtés ! Et ceux des Who aussi avec le concert du Fillmore 1968 dans une édition deluxe. Bon c'est un peu vintage tout ça, cet été on écoutera les Arctic Monkeys ? Ou du rap ???

avril 2018

Du jazz pour changer : la réédition d'un chef d'oeuvre du saxophoniste Sonny Rollins. Sublime...(1957)

mars 2018

Les deux suédoises proposent une country-pop aux harmonies subtiles. C'est très bien produit et l'écoute en est délicieuse. Que demander de plus ? A voir sur scène à Paris le 8 mars.

février 2018

Le troisième album de Django Django et c'est toujours aussi bien (déjà disque du mois en mai 2015 !). De la concurrence aussi pour ce choix de février, avec Franz Ferdinand, Belle & Sebastian...

janvier 2018

Toujours vivants, eux...enfin pas tous. En 63-65, c'était un sacré bon groupe de rock et de blues !

décembre 2017

Réécouté ce chef d'oeuvre soul de 1970 après la diffusion de la bande-son du film français "Le Brio". Le film n'est pas mal (sans plus) mais à un moment on entend le grand Marvin chanter Inner City Blues et tout prend alors une autre dimension !!! Groovy sound...

novembre 2017

Un duo indé-rock qui sort du lot.

octobre 2017

Mais quel âge a donc ce vieux baba ????

septembre 2017

Une rentrée musicale semée de pépites : Neil Young, Sparks, James Murphy & LCD sound system, Cat Stevens, Steve Winwood (Live), Lisa Hannigan, The National, Greg Allman et j'en passe.

Un album posthume du grand rocker sudiste

The Loner acoustique en 1975, avec deux inédits.

Les frères Mael en pleine forme : Hippopotamus !

 

été 2017

Ecouté les deux compères - dans un festival de jazz cet été - revisiter des standards. Magnifique album !

juin 2017

Back to post-punk of the eighties ? Non mais sans blague, Wire fait de bien meilleurs disques que The Cure depuis 20 ans !

mai 2017

Le retour des Anglais de Reading...Je n'ai jamais compris ce qu'était le shoegazing, mais comme j'aimais bien The Cocteau Twins et surtout Jesus & the Mary Chain, c'est un style indie plutôt cool.

Et oui, c'est bien lui : Kinky for ever ! Accompagné par les Jayhawks !

avril 2017

Une compilation essentielle du crooner dépressif.

mars 2017

La rélève country-jazz-folk US : une révélation dans un genre assez encombré.

janvier 2017

Certes un album de 2016 mais en écoute constante début 2017

décembre 2016

John Scofield revisite la musique country ! Un guitariste de jazz hors pair.

novembre 2016

cohen

Paix à son âme de poète. hallelujah!

octobre  2016

vega

La vie de Carson Mc Cullers révisitée par une très grande artiste US

septembre 2016

Angel Olsen, une nouvelle Suzanne Vega ?

Le retour du prodige irlandais en tenue napoléonienne.

juillet-août 2016

Bon. C'est bien parce que c'est eux....

juin 2016

Toujours vert !

mai 2016

avril 2016

janvier 2016

décembre 2015

Une nouvelle interprétation du disque de 1995, celle de la maturité, de cette grande artiste indie-US.

novembre 2015

12 disques pour l'intégrale d'Otis de 1964 à 1970 : la quintessence soul. A écouter intégralement !

rentrée 2015

Le retour des Mancuniens de New Order : roulez jeunesse techno !

été 2015

FFS ou l'improbable alchimie des Anciens et des (presque) Modernes. (cf. Rock en Seine fin août)

"This town ain't big enough for both of us
And it ain't me who's gonna leave"

mai 2015

Pop survitaminée, entre psychédélisme, Beach Boys et Pink Floyd époque Syd Barrett ?

AVRIL 2015

Blur, le retour magique ?

JANVIER 2015

La compilation de Nick Talbot/Gravenhurst (malheureusement un album posthume du chanteur de Bristol, l'un des meilleurs de la décennie 2000)

DECEMBRE 2014

novembre 2014

Deux Giants du Jazz / INDISPENSABLE !

octobre 2014

Give My Love to Marianne

(+ Anna Calvi)

juillet 2014

Encore du vintage !

JUIN 2014

OUPS!!!! WHOLE LOTTA LOVE!!!!

MAI 2014

Une fois n'est pas coutume, un disque de jazz (magistral) qui intérprète l'intégrale du chef d'oeuvre de John Coltrane, A Love Supreme.

AVRIL

janvier 2014

Magnifique album sur le Deep South et son histoire.

novembre 2013

octobre 2013

le dernier single de Midlake en téléchargement gratuit

(le LP est sorti début novembre)

septembre

DAHO : LE RETOUR

AOUT

JUILLET

JUIN

+ 2 TITRES A TELECHARGER

MAI

Arman Méliès

The National (nouvel album live)

AVRIL

Trash-folk acadien! A great voice !

MARS

FEVRIER

la bande-son de Django Unchained

Jim Croce : I Got A Name !

JANVIER

NOVEMBRE/DECEMBRE

SOPHIE HUNGER

OCTOBRE 2012

CALEXICO

(Ian Curtis ou Etienne Daho ?)

juillet 2012

rock'n'roll nigger !

JUIN 2012

Le retour du Crazy Neil!

avril 2012

Dominique A : rendez nous la lumière!

(chanson écolocompatible)

Hiver 2011/2012

Metronomy (pop & pop !)

(hommage à Nick Drake)

Time of no reply/Misja Fitzgerald Michel

Eté/Automne 2011

Other Lives

(le groupe à écouter!!! et surtout à voir sur scène)

Voir les sessions sur KEXP

The Feelies

(dans l'esprit du Velvet)

Printemps 2011

Fleet Foxes

Timber Timbre

Graham Nash, Reflections

Paul McCartney, first solo LP 2011 release

mars 2011

REM, Collapse into now

Le groupe d'Athens est de retour mais s'il ya deux ou trois bons titres, on ne peut dire que l'inspiration est revenue depuis...Up ?

novembre 2010

Souad Massi, O Houria

Un très bel album (produit par Cabrel) de cette chanteuse algérienne devenue une véritable vedette en Europe.

octobre 2010

Bowie : station to sation et concert 1976

Un coffret de luxe du thin white duke. J'ai vu le concert de mai 76 à Paris alors je sais de quoi je parle!

juin 2010

Kings of convenience

(Declaration of dependance)

Un groupe folk/rock norvégien, entre Simon & Garfunkel et B&S, très très cool...

mai 2010

Starboard silent side

un groupe franco-batave qui a enregistré dans le Vermont un disque étonnant de maturité folk/rock

avril 2010

MIDLAKE, The courage of others

vraie révélation de cette année 2010 : on y entend à la fois du radiohead, du caravan, du fairport convention, du donovan, du king crimson...SUPERBE

février/mars 2010

Pat Metheny, Orchestrion

vue à l'Olympia l'expérience "orchestrion" du Californien...très convaincante, même si rien ne vaut un Roy Haynes par exemple aux drums!

octobre/décembre 2009

une écoute francophone !

Benjamin Biolay, La superbe

(j'aime bien l'écriture de Biolay mais là il y a un peu (trop) de déchet

Brigitte Fontaine, Prohibition

(la dernière des rebelles ?)

Dominique A, La musique

(son ton new wave me plait bien)

Berry, Mademoiselle

(en boucle...)

septembre 2009

Bireli Lagrene

(voir mes photos de Biréli)

le meilleur !

John Fogerty

très country et très sympa

Revolver (le groupe et... le site!)

jolies mélodies mais ils n'ont pas inventé la pop

(mai/juin 2009)

Van Morrison, Astral weeks live at the Hollywood Bowl

Mythique (l'album Astral Weeks)

Neil Young, Fork in the road

(un album déjanté et sonique, sur deux accords au plus, le concert en France au zénith ayant levé tous les doutes!)

Cocoon, My Friends All Died In A Plane Crash

(un album zen et euphorisant, musique de pub mais un peu plus aussi... par nos frenchies clermontois)

elbow, The Seldom Seen Kid

(Meilleur groupe de l'année 2008 des Brit Awards)

 

LA VIDEO PREFEREE DU MOIS

en MAI 2010

VOIR LES PHOTOS DU CONCERT CLAPTON/WINWOOD ET LA CHRONIQUE DU CONCERT

.

en février 2010

en novembre 2009

superbe adaptation du mythique morceau du Floyd

en mai 2009

COCOON / chupee :de la POP !

en avril

Une résurrection !

Ecouter aussi

en mars

commentaire

Une version bashungienne des "mots bleus" sur Canal+, bien meilleure que l'original, c'est dire!

en février

Robert Wyatt & Annie Whitehead Sea Song (BBC Four, 2003)

commentaire

Sublime ! On en pleure d'émotion...

 

Des commentaires ?

NO

Site garanti sans facebook/twitter/myspace !

pour un vrai partage du web sans réseaux dits "sociaux"!


   

 

 

 

 

 



 

 

 

© 2009-2021. Les sites berlemon.net sur la Toile depuis 1998!

NONo No

militons pour un vrai partage du web sans réseaux dits "sociaux" !

hébergement OVH